Malgré ces temps troublés par les flux migratoires dus à la
folie humaine d’une part mais aussi des intérêts économiques qui nous dépassent
mais qui passionnent les grands de ce monde (armements entr’autres) , par
l’incompétence notoires de nos zoms p’litiques qui essaient de nous enfumer en
nous réformant l’orthographe, (à savoir de l’utilité de l’accent circonflexe,) en nous parlant de déchéance de
nationalité, (comme si l’ostrogoth qui
veut se faire sauter avec sa bombinette meurtrière en avait quelque chose à
faire de la déchéance de nationalité), en nous votant un état d’urgence seulement
nécessaire à asseoir leur propre sécurité, en cas de conflits sociaux graves
qui ne sauraient tarder à venir vu l’état exsangue de l’économie Française, de
la courbe du chômage qui descend tout schuss vers un abîme sans fond, de l’insécurité
des rues des grandes agglomérations etc…. etc… du manque d’ambition générale
(même dans l‘association dont je suis devenu
président d’honneur (entendez « potiche
d’honneur !!), on manque
d’ambition, du coup j’au démissionné.
Malgré ces temps difficiles l’ours, égoïstement, (on a
qu’une Vie), se promène en Écosse. Il est
allé retrouver son vieil ami Keikiwai
qui l ‘attendait, stoïque, dans un froid hivernal, que l’on attendait plus,
même ici !!!
Ça a commencé par une petite virée à Cherbourg en camion,
puis une traversée de la Manche, un
tantinet agité et un peu plus longue que prévu, du à un méchant coup de g….
d’Éole qui à mis Neptune dans une colère noire. Résultat des creux de 6 à 8
mètres et un tangage des plus… agréable,
pendant tout le voyage.
un peu de vent qui arrache petit a petit le drapeau… |
Au loin dans la nuit, un cargo passe… |
Arrivée malgré tout sans encombre à Portsmouth, puis montée
vers le nord avec arrêt à Banbury, 200 kms plus loin… Dodo bien mérité dans un
super B&B. Ils m’ont attendu jusqu'à 23h pour que je ne dorme pas dehors
(tous les Anglais ne sont pas mauvais !!)
sur le canal d'Oxford, à Banbury au petit matin les péniches se reposent |
Le lendemain quelques 700 kms plus loin je montais sur le
pont verglacé de mon bon Keikiwai, après avoir enduré le battement incessant
des essuies glaces chassant la pluie pendant presque tout le trajet, pour finir par une tempête de neige sur les
100 derniers kms… Accueil Écossais!!!
Faut pas se plaindre sinon on va à la Guadeloupe chauffé ses
vieux os, mais j’ai lu quelque part que le froid conserve… alors je me soigne…
En arrivant un merveilleux haddock & chips accompagné
d’un Chardonnay bien Français me réconcilia avec l’Écosse.
À bord tout allait bien, le chauffage mit quelque temps à
réchauffer le carré ou il faisait 2° et c’est avec 2 duvets et une couette que
je peinais à m’endormir. Une heure et demi après le thermomètre affichait
péniblement 8° !!!
Nuit frisquette, nuit gelée, nuit d’Écosse, nuit quand même…
Le lendemain le camion piaffait d’impatience, le nord nous
attendait !!!! Mais je vous montrerai cela plus tard car le camion me
prend la tête !!! Il râle !!! On dirait quelqu’un que je connais, ou
plutôt que je croyais connaître…
Il est 9h (heure Écossaise) et je n’ai pas fini mon café,
suis pas habillé, et nous allons voir si Tongue (pas les chaussures !!!)
est si joli que le guide le dit !!
A bientôt
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